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MINTZBERG : coordination du travail



Les mécanismes de coordination coexistent au sein de l’organisation et au sein de chaque équipe à des degrés d’intensité variables en fonction de la nature de l’activité, du degré d’autonomie que l’on accorde aux personnes et des moyens qu’ils utilisent.

A chaque instant plusieurs mécanismes sont utilisés simultanément. Par exemple dans un Comité de Direction l’ajustement mutuel et la supervision directe.


L’intensité du mécanisme, c’est-à-dire l’efficacité avec laquelle il va induire la coordination, va du plus fort avec la supervision directe au moins fort avec l’ajustement mutuel.


La richesse du contenu de la communication associée au mécanisme va du moins fort avec la supervision directe (contenu en général bref, concis) au plus riche avec l’ajustement mutuel (contenu ample, souvent bavard et prolixe). 



Le moyen le plus intense n’est pas toujours le plus approprié. Dans certains cas mieux vaut privilégier l’ajustement mutuel au détriment de la hiérarchie d’autorité pour arriver aux buts que l’on s’est fixés.

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