Les
mécanismes de coordination coexistent au sein de
l’organisation et au sein de chaque équipe à des degrés
d’intensité variables en fonction de la nature de
l’activité, du degré d’autonomie que l’on accorde aux
personnes et des moyens qu’ils utilisent.
A
chaque instant plusieurs mécanismes sont utilisés
simultanément. Par exemple dans un Comité de Direction
l’ajustement mutuel et la supervision directe.
L’intensité
du mécanisme, c’est-à-dire l’efficacité avec laquelle il
va induire la coordination, va du plus fort avec la
supervision directe au moins fort avec l’ajustement
mutuel.
La
richesse du contenu de la communication associée au
mécanisme va du moins fort avec la supervision directe
(contenu en général bref, concis) au plus riche avec
l’ajustement mutuel (contenu ample, souvent bavard et
prolixe).
|
|
Le
moyen le plus intense n’est pas toujours le plus
approprié. Dans certains cas mieux vaut privilégier
l’ajustement mutuel au détriment de la hiérarchie
d’autorité pour arriver aux buts que l’on s’est fixés.
|